Les patates chaudes du transport collectif
Je prends les transports en commun toutes les semaines depuis plus de 40Â ans.
Je prends les transports en commun toutes les semaines depuis plus de 40Â ans.
Vous le saviez, vous, que les profits du cannabis finançaient le Mouvement allaitement du Québec ? Ou encore l’Association québécoise de la distribution de fruits et légumes ? Ou même Équiterre ?
Malgré les dépenses importantes et la rhétorique du gouvernement Trudeau concernant l’aide aux plus démunis, des données récentes de Statistique Canada révèlent que les ménages à faible revenu éprouvent davantage de difficultés à se nourrir.
Depuis trois ans, les activités de Bombardier sont maintenant exclusivement concentrées sur la conception, la fabrication et l’entretien des avions d’affaires. Et pourtant, plus de 60 % des Québécois et 80 % des Canadiens pensent que l’entreprise construit encore des motoneiges, des motomarines ou des trains à haute vitesse. La multinationale montréalaise de l’aéronautique a entrepris de se refaire une image bien à elle, de se forger une nouvelle identité.
Au rythme où vont les choses, il faudra plus de 10 ans pour retrouver le niveau de vie auquel on pouvait s’attendre avant le boom récent de l’immigration et le ralentissement post-pandémique.
Même si la pratique est dénoncée depuis des années, des commerçants continuent de détruire de la marchandise flambant neuve avant de la jeter aux poubelles, comme je l’écrivais à la fin de l’hiver. Je n’étais pas au bout de mes surprises. On m’a appris qu’Ottawa, loin de décourager ce gaspillage, verse plutôt de l’argent aux entreprises qui sortent les ciseaux.
La fabrication de nouvelles capacités de production d’énergie renouvelable est en voie d’être surmultipliée aux États-Unis grâce aux généreuses subventions de l’Inflation Reduction Act (IRA) du président Biden. Un programme qui profite aussi par ricochet à l’entreprise montréalaise 5N Plus, spécialisée dans la production de semiconducteurs et de matériaux de haute performance.
À la petite école, on encourage les élèves à poser des questions en leur disant que les réponses aideront leurs camarades trop gênés pour lever la main. Le même principe s’applique quand les courriels que vous me transmettez se transforment en chronique. En voici trois qui ont retenu mon attention.
Ne rien faire. Voilà une bonne stratégie fiscale qu’auraient intérêt à employer bien des contribuables visés par la mesure de Chrystia Freeland, étonnamment.
Le Québec devrait enfin afficher une augmentation des nouvelles mises en chantier en 2024 après avoir aligné 17 mois de baisses quasi ininterrompues entre avril 2022 et novembre 2023. Pour la troisième fois en quatre mois, le nombre de mises en chantier a enregistré une hausse, mais leur nombre reste toutefois à des années-lumière de pouvoir répondre à la demande intérieure.
Ce n’est pas sérieux. Encore cette année, Tim Hortons annonce à des clients qu’ils ont gagné un prix important dans le cadre du concours Déroule pour gagner, alors que c’est faux. Peu importe la cause de cette bévue, la crédibilité de la plus grande chaîne de restaurants du Canada écope.
Il existe différentes manières de surveiller les prix alimentaires et l’inflation. Toutefois, lors de l’évaluation de la précision de notre agence fédérale responsable pour mesurer les changements de prix alimentaires, il apparaît évident que beaucoup de travail reste à faire.
C’est un peu cru comme constat, mais la mesure fédérale sur le gain en capital touchera probablement davantage les morts que les vivants, si l’on peut dire. Et elle s’apparente à une hausse des impôts sur l’héritage, en quelque sorte.
Hélas, chaque année, 130 000 enfants défavorisés qui auraient droit à un BEC n’en bénéficient pas. Malgré son charmant acronyme, le Bon d’études canadien manque encore cruellement de notoriété, deux décennies après sa création. Des familles à faibles revenus se privent ainsi d’un cadeau pouvant atteindre 2000 $, sans compter les rendements qui s’accumulent au fil des ans.
(Ottawa) Après la pléthore d’annonces des dernières semaines, on s’attendait à un boom du déficit fédéral, littéralement. Or, ce n’est pas le cas, le déficit de Chrystia Freeland reste stable à « seulement » 40 milliards de dollars.
Baissera, baissera pas ? Les Canadiens attendent impatiemment une baisse du taux d’intérêt directeur de la Banque du Canada, une baisse vue comme salutaire, notamment pour le marché immobilier.