Actualités théâtre En continu

Critique de Lysis La cité des femmes

Après quatre ans d’attente et deux reports, la production de Lysis a enfin vu le jour cette semaine. Pour sa dernière mise en scène en tant que directrice du Théâtre du Nouveau Monde (TNM), Lorraine Pintal s’offre une sortie en beauté, avec un spectacle grandiose et porteur d’espoir… Mais qui s’égare en cours de route.

Prix Jovette-Marchessault Linda Brunelle récompensée

La conceptrice de costumes Linda Brunelle a remporté lundi soir le prix Jovette-Marchessault. Ce prix, qui vise à reconnaître et à faire rayonner la contribution de femmes artistes au milieu théâtral montréalais, s’accompagne d’une bourse de 20 000 $ offerte par le Conseil des arts de Montréal.

Critique de Vernon Subutex L’inrockuptible Subutex

Angela Konrad avait frappé fort en 2022 avec l’adaptation théâtrale du premier volet du triptyque littéraire Vernon Subutex, repris ces jours-ci à l’Usine C. La metteure en scène montréalaise remet ça en insufflant énergie rock, émotions vives et grincements de dents aux deuxième et troisième parties. Le tout dans une suite quasi sans bémol.

Lysis La pièce maudite arrive sur scène

Tant de tuiles sont tombées sur la tête des créateurs de la pièce Lysis qu’on pourrait croire à une malédiction : remplacement de l’actrice principale trois mois et des poussières avant la première, deux reports en raison de la pandémie, moult changements à la distribution… Mais après quatre ans d’une attente déchirante, ce spectacle d’envergure s’apprête à rencontrer son public au Théâtre du Nouveau Monde. Enfin.

Vernon Subutex Le retour du prophète rock

Il est sale, puant et porte tous les oripeaux de la déchéance. Mais son charisme, lui, n’a pas pâli… Vernon Subutex vient de nouveau hanter la scène de l’Usine C dans la pièce qui porte son nom, traînant dans son sillage une flopée de marginaux et d’éclopés.

Critique de Pisser debout sans lever sa jupe De l’art d’être soi

Après une première visite remarquée au Centre du Théâtre d’Aujourd’hui la saison dernière, le spectacle multidisciplinaire Pisser debout sans lever sa jupe est de retour pour souligner à traits tantôt fins, tantôt plus grossiers les aléas d’une quête identitaire loin des diktats et des clichés.

Critique de S’enjailler Jeunesse d’aujourd’hui

Il y a de la visite rare à la salle Jean-Claude-Germain, avec l’arrivée de S’enjailler, une pièce dont la langue vernaculaire métissée et décomplexée a peu souvent la chance d’être entendue sur nos scènes. Portrait vibrant de quatre amies dépareillées, mais unies pour la vie.