Québécois, il faut retrouver le goût d’innover
Moi qui croyais que les Québécois étaient restés créatifs, innovants, inventifs. À la manière des Joseph-Armand Bombardier ou Guy Laliberté, du Cirque du Soleil.
Moi qui croyais que les Québécois étaient restés créatifs, innovants, inventifs. À la manière des Joseph-Armand Bombardier ou Guy Laliberté, du Cirque du Soleil.
Depuis le 1er mai, malgré un boycottage national, la fortune de Galen Weston a augmenté de près de 700 millions de dollars. L’action de Loblaw a atteint un sommet ces derniers jours. Bien que le prétendu boycottage puisse finalement se révéler sans conséquence, il met en lumière la nécessité urgente de s’attaquer aux problèmes sous-jacents de l’industrie de l’épicerie.
Il est le plus ancien client de l’hôtel Sheraton centre-ville, où il vient séjourner une dizaine de jours par mois depuis 41 ans. Louis Le Duff, président du Groupe Le Duff et de Bridor, fabricant français de pains et de viennoiseries surgelés destinés aux restaurants, supermarchés et hôtels, poursuit inlassablement le développement de son entreprise fondée au milieu des années 1970, avec le Québec comme tête de pont pour l’Amérique.
Faut-il maintenir la cible d’inflation, réorganiser l’immigration ? Comment stimuler l’innovation et la productivité ? Et quelle est la place du bonheur, dans tout ça ?
Vous vous rappelez cette polémique sur l’absence de fonds de grève de certains syndicats et sur l’importance d’avoir les états financiers pour y voir clair ?
La nouvelle division d’investissements alternatifs du groupe Power Corporation, qui est consacrée à la décarbonation de l’économie et aux changements climatiques, poursuit son expansion avec l’arrivée d’un nouvel investisseur, la Canada Vie, qui injecte 600 millions dans la nouvelle stratégie de crédit d’infrastructures climatiques qui a été lancée à l’automne dernier.
Dans les films, les histoires d’héritages qui sèment la bisbille au sein de familles fortunées nous tiennent en haleine. Dans la vraie vie, certains testaments provoquent de grandes souffrances, peu importe les sommes en cause. Une réalité qui, par la force des choses, est taboue et méconnue.
L’an dernier, l’équivalent de 16 % des véhicules neufs au Québec étaient électriques. Question : atteindra-t-on les 45 % exigés dans trois ans ? Ou encore 75 % dans cinq ans ?1
Si une entreprise incarne parfaitement le concept de commercialisme, c’est bien Walmart. La méga-entreprise établie à Bentonville, aux États-Unis, avec ses plus de 400 magasins au Canada, est devenue le véritable symbole du commerce de masse. Importer au plus bas prix, à tout prix, telle est la devise de Walmart. Sa logistique est tellement efficace que l’ouverture d’un magasin peut parfois entraîner un effet déflationniste sur son marché immédiat, contrastant totalement avec les valeurs du local, du terroir et de la simplicité.
Après la municipalité de Longueuil qui s’inquiète du retard que le ministère de l’Économie, de l’Innovation et de l’Énergie (MEIE) accumule pour rendre sa décision de désigner la municipalité de Saint-Hubert zone d’innovation en aérospatiale, c’est au tour de la région de l’Abitibi-Témiscamingue de manifester une certaine impatience devant les délais pour confirmer la nomination espérée de Rouyn-Noranda comme zone d’innovation minière désignée.
Les aînés le répètent : ils préfèrent vieillir à domicile et y recevoir leurs soins. L’expansion de ces soins à domicile vient toutefois avec une imposante facture pour l’État. Que faire ?
Les nouvelles économiques ont beau être encourageantes, l’anxiété financière gagne du terrain dans les chaumières. Désormais, la moitié de la population du Québec (48 %) en ressent à un niveau modéré ou extrême. En incluant tous les degrés d’anxiété, la proportion bondit à 86 %. C’est beaucoup trop dans un pays censé offrir un niveau de vie adéquat.
Roule-t-on sur l’or dès qu’on possède une maison, un chalet, une voiture ? Un parent peut-il être qualifié de démuni s’il achète des livres et assiste aux compétitions de ses enfants ? La pauvreté comme la richesse sont des concepts éminemment subjectifs et relatifs.
On ne badine pas avec la réduflation en France. Dans certains supermarchés, des affiches pointent les aliments devenus plus légers en catimini. Cette pratique deviendra même obligatoire dès l’été, une idée qu’Ottawa trouve « absolument géniale ». On ne peut pas être contre le principe de mieux informer les consommateurs pour qu’ils puissent prendre des décisions éclairées.
Je prends les transports en commun toutes les semaines depuis plus de 40Â ans.
Vous le saviez, vous, que les profits du cannabis finançaient le Mouvement allaitement du Québec ? Ou encore l’Association québécoise de la distribution de fruits et légumes ? Ou même Équiterre ?