Splendeur et influence La drôle île de l’Occupation double
La comédie Splendeur et influence, qui parodie les téléréalités peuplées de passagers Sunwing imbibés de boisson d’épicerie, regorge de répliques comiques et cinglantes.
La comédie Splendeur et influence, qui parodie les téléréalités peuplées de passagers Sunwing imbibés de boisson d’épicerie, regorge de répliques comiques et cinglantes.
Les journalistes passent et les écrivains restent, à une exception près : Bernard Pivot.
J’ai complètement capoté sur la minisérie Baby Reindeer, de Netflix. Stephen King aussi.
Comment raconter par l’écriture ce qui s’est produit lors de cette nuit terrible du 13 novembre 2015, quand Paris a été la cible des pires attentats terroristes de son histoire ? Avec Terrasses ou notre long baiser si longtemps retardé, un récit choral, Laurent Gaudé a voulu embrasser cet évènement dans toute son horreur, mais aussi dans son humanité.
Le ministre de la Culture et des Communications, Mathieu Lacombe, a beaucoup de pain sur la planche. J’ai profité de son passage au festival Transistor qui se déroulait la semaine dernière à Gatineau, sa région, pour aborder quelques dossiers cruciaux.
En apprenant la mort de Paul Auster à 77 ans d’un cancer du poumon, dans sa maison de Brooklyn, j’ai pensé à Willy et Mr Bones, les personnages de son roman Tombouctou (1999) – et bien sûr à son film Smoke de 1995 qui se déroule dans une tabagie, lui qui était fumeur de cigarillos.
Le 4 mai 2004, Pierre Lapointe lançait son premier disque. Le columbarium, Debout sur ma tête, Tel un seul homme, ce surdoué a foudroyé le milieu musical avec des munitions de taille. Vingt ans après cette lancée en orbite, il accepte de faire un retour en arrière avec notre chroniqueur et de se livrer avec une franchise désarmante.
Quelle idée formidable a eue Julien Morissette il y a huit ans de créer le festival Transistor, consacré à la radio numérique et à l’univers de la balado. Lui et sa collègue Clara Lagacé, directrice générale, surfent sur un monde en pleine ébullition.
Clémence DesRochers a eu un très mauvais dimanche. Son beau lac Memphrémagog était gris. Les bourgeons paresseux des arbres n’arrangeaient rien. Elle a passé la journée à ressasser des souvenirs liés à son ami Jean-Pierre Ferland.
Un samedi matin de mes 7 ans, tout le monde dort dans la maison. Je suis dans le salon. Ma mère ne veut pas que je regarde la télévision. Pas avant midi. Alors j’allume la chaîne stéréo.
Comme vous, j’adore les histoires de gens qui partent du bas de l’échelle pour atteindre le firmament. Ce sont les plus vraies, les plus touchantes. Cette trajectoire est celle de Jean-Pierre Ferland qui, de « faiseux de skédules » à Radio-Canada, a réussi à se hisser au rang des géants de la chanson québécoise.
Mon indécrottable optimisme envers l’avenir du Québec me vient de ma longue fréquentation de sa littérature, j’en suis certaine. En ce sens que je vis un peu dans un monde parallèle et beaucoup plus complexe que les grands titres anxiogènes que je ne comprends pas toujours quand je sors le nez d’un bon livre québécois – essai, roman, poésie, peu importe.
Au moins 3,5 millions de Canadiens pratiquent le chant choral, et en me fiant aux nombreuses études sur le sujet, je suis presque certaine que la santé globale de ces choristes est au-dessus de la moyenne nationale.
Jamais les bêtisiers n’ont été aussi populaires. En plus de l’équipe d’Infoman qui nous rapporte tous les jeudis soir les bévues de nos politiciens et les dérapages qui ont cours dans les conseils municipaux, on peut compter sur Olivier Niquet, pilier de La journée est (encore) jeune, pour accomplir cette tâche.
Ma filleule m’a comblé l’autre jour en me racontant la réaction de son fils de 18 mois quand il va à la bibliothèque. Il pousse des oh ! et des ah ! devant chaque livre.
Le 12 août 2022, Salman Rushdie, 75 ans, a été attaqué et poignardé à plusieurs reprises par un homme de 24 ans, alors qu’il se trouvait sur scène avant une conférence littéraire à Chautauqua, dans l’État de New York. Touché au cou, à la main gauche et à l’abdomen, l’auteur a perdu un œil. Il est passé à un cheveu de perdre la vie.