Toronto a eu le dernier mot dans l’enchère Daryl Watts. L’attaquante s’est entendue sur les termes d’une entente de deux ans.

Watts était l’une des joueuses les plus intéressantes sur le marché des joueuses autonomes de la Ligue professionnelle de hockey féminin, qui s’ouvrait vendredi.

Avec la formation d’Ottawa la saison dernière, la joueuse de centre était une des joueuses les plus utilisées. Elle a enregistré 10 buts et 7 mentions d’aide en 24 rencontres, soit le troisième plus haut total de points de l’équipe et le douzième du circuit.

Après la saison, dans une entrevue accordée au Ottawa Citizen, Watts avait qualifié la dernière campagne de « défi », déplorant le peu de temps de jeu dont elle a bénéficié en début de saison. Elle avait mentionné vouloir « tester le marché » cet été.

« C’est mon travail. C’est grâce à ça que je subviens à mes besoins. De toute évidence, l’argent est un facteur très important quand tu testes le marché », avait-elle indiqué.

Il faut croire que Toronto avait la meilleure offre.

« Daryl a connu une excellente saison avec Ottawa. Elle est une menace offensive incroyable qui a fait ses preuves dans cette ligue. Nous avons pensé que l’ajout d’une attaquante à notre équipe était une pièce importante du casse-tête », a noté la directrice générale Gina Kingsbury.

« Toronto est ma maison, a conclu Watts. Ayant grandi ici en regardant les Maple Leafs de Toronto, revenir à Toronto pour jouer au hockey professionnel est un rêve devenu réalité. »