PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
« L’alimentation participe beaucoup à notre santé », souligne, Guylaine Archambault, directrice générale du musée. À travers l’exposition, on propose aux visiteurs d’explorer le lien entre la nourriture et le bien-être, autant individuel que collectif.
PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
Une première zone décortique ce qui se passe dans notre corps lorsqu’on ingère un aliment. Grâce à un écran tactile, on peut notamment s’amuser à jouer le rôle d’une enzyme se trouvant dans l’intestin grêle. Notre mission ? Séparer en plus petits morceaux les macronutriments afin d’en faciliter la digestion.
PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, ARCHIVES COLLABORATION SPÉCIALE
Protéine, lipide, glucide : à quoi sert chaque macronutriment ? Un tableau interactif aide les visiteurs à démêler l’apport de chacun.
PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
Dans une deuxième zone, on explore notamment comment les différents sens sont interpellés lorsqu’on se nourrit. Derrière de petites portes se cachent des odeurs d’aliments. Les visiteurs doivent démêler les parfums bien identifiés de ceux qui ne le sont pas. « On tente de vous déjouer », s’amuse la directrice générale.
PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
Des stations interactives font également appel à l’ouïe, au toucher et au goût des visiteurs. On peut notamment expérimenter ce qui se produit lorsqu’on croque dans un grain de poivre de Sichuan. « Ça donne une sensation d’engourdissement de la langue », décrit Bernard-Taylor François, coordonnateur de programmes au musée.
PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
L’interactivité se poursuit dans la troisième et dernière zone de l’exposition, qui présente les défis du système alimentaire actuel. Sur un grand écran apparaît un enjeu auquel on doit apporter une solution. Qu’est-ce qui peut contribuer à diminuer l’insécurité alimentaire ou à réduire le gaspillage ?
PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
Plutôt petite, l’exposition pourrait en laisser certains sur leur faim. Heureusement, une activité en laboratoire est également incluse dans la visite du musée, situé depuis un an dans de nouveaux locaux voisins de ceux du Cosmodôme.
PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
Après avoir enfilé un sarrau, on manipule pipettes et éprouvettes afin de réaliser une expérience illustrant la façon dont le corps digère les macronutriments. Pensée pour les 6 ans et plus, l’activité dure environ 45 minutes.
PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
Le premier dimanche du mois, journée où l’entrée au musée est gratuite, une autre activité est proposée : l’observation au microscope de différents aliments. Ainsi grossis, ils sont bien difficiles à identifier. Quel défi !
PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
Manger ! L’exposition qui nourrit porte bien son nom. « C’est au propre comme au figuré », souligne la directrice générale, Guylaine Archambault. Car en plus de nourrir l’esprit des visiteurs, elle contribue à nourrir les gens dans le besoin, puisque le musée collecte des dons pour Moisson Laval en marge de l’exposition.
PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE
L’institution, qui fête cette année ses 30 ans, propose également l’exposition permanente 4, 3, 2, 1… Santé ! sur les gestes concrets à faire pour maintenir sa santé, celle des autres et même celle de la planète.