Voyage et plein air En continu

Une autre façon de revendre sa tente

La saison du ski de fond et de l’escalade de glace est terminée, la saison de la randonnée patauge encore dans la boue, c’est le temps de faire le ménage des placards et de se défaire de l’équipement et des vêtements dont on ne se sert plus.

La météo au cœur de la prévision d’avalanches

L’avalanche qui a emporté trois motoneigistes à la fin de mars a rappelé l’importance de la sécurité en terrain avalancheux. Elle a également mis en lumière le travail d’Avalanche Québec et son rôle dans la prévision de ces évènements.

Écouter l’éclipse

Se trouver au sommet d’une montagne pour observer l’éclipse du 8 avril, ça peut sembler une bonne idée. En fait, les amateurs de plein air devraient plutôt regarder du côté des terrains marécageux ou des champs.

Un temps pour la réflexion

Apprendre à partir de ses erreurs, ça peut être un peu douloureux. Apprendre à partir des erreurs des autres, c’est déjà plus confortable, et presque aussi bénéfique. L’entre-saison est un moment parfait pour potasser les rapports d’accident et en retirer des enseignements.

Damage dans les centres de ski de fond Les magiciens

L’hiver a été difficile pour les adeptes de plein air. Il leur a fallu travailler fort pour trouver de la neige pour skier ou de la glace pour patiner. Heureusement, il existe maintenant des patinoires réfrigérées et des magiciens du damage qui ont fait des miracles, notamment dans de petits centres de ski de fond familiaux.

Le Nord attire les aventuriers

Devant cet hiver qui s’étiole, on se prend à rêver de froidure, de Grand Nord, d’Arctique. Certains font plus que rêver, ils planifient furieusement leur prochaine aventure. C’est le cas de Nicolas Roulx, d’Expédition AKOR.

Forêt Montmorency Quand un entraîneur s’en mêle

Bien que le ski de fond demeure un sport populaire, les réseaux de sentiers ne sont pas en croissance, bien au contraire. C’est notamment pour cette raison que Godefroy Bilodeau est passé à l’action lorsque l’Université Laval a fermé le centre de ski de fond de la forêt Montmorency, tout à côté de la réserve faunique des Laurentides, en 2020.

De l’humour pour promouvoir la courtoisie

Comment promouvoir la courtoisie entre les divers utilisateurs du plein air sans se montrer trop moralisateur ? En faisant appel à de chouettes animaux et en adoptant un ton humoristique, bien sûr. C’est ce que fait le Réseau plein air Québec (RPAQ) avec sa nouvelle campagne de sensibilisation « La nature te juge ».

Pour des sentiers réservés au ski nordique

Certaines choses ne se partagent pas. Un sentier de ski nordique, par exemple. Le passage d’un seul raquetteur ou d’un seul marcheur peut rendre le sentier non seulement désagréable, mais carrément dangereux.

SEPAQ Le nouveau PDG promet d’être à l’écoute

Martin Soucy connaît bien la SEPAQ. À l’âge de 16 ans, il a décroché un emploi étudiant au parc national d’Oka. « J’ai vraiment commencé comme un employé de première ligne », déclare celui qui deviendra le nouveau président-directeur général de la Société des établissements de plein air du Québec le 5 février prochain.

T’as mis d’la brume dans mes lunettes

La neige est brillante, le ciel est d’un bleu profond, le froid est mordant : c’est un plaisir d’adopter un bon rythme pour monter cette pente un peu abrupte en ski de fond. Mais voilà, les lunettes de soleil s’embuent et une fois au sommet, cette buée se transforme en glace opaque. Comment redescendre de l’autre côté si on ne voit plus rien ?

Kayakistes en eaux troubles

Trois kayakistes américains et un Écossais ont réalisé un exploit l’été dernier en étant les premiers à réussir la traversée du passage du Nord-Ouest, à force humaine, en une seule saison. Un seul problème : on vient de les accuser d’avoir violé la loi canadienne en campant illégalement dans un refuge d’oiseaux migrateurs.

Une pensée pour la faune en hiver

Plusieurs animaux demeurent actifs l’hiver. Mais leur vie n’est pas facile et ils n’ont certainement pas envie que des humains les embêtent en s’approchant d’un peu trop près. Le problème, c’est que souvent, les amateurs de plein air ont de bonnes intentions et ne savent pas qu’ils importunent la faune hivernale.