Trump, la faute du Canada
La télé américaine nous a appris cette semaine qu’en raison d’un excès de wokisme, le Canada ne méritait plus son titre de « plus meilleur pays du monde ».
La télé américaine nous a appris cette semaine qu’en raison d’un excès de wokisme, le Canada ne méritait plus son titre de « plus meilleur pays du monde ».
J’ai un scoop pour vous : les rues de Montréal sont propres.
La mère d’Éric Lefebvre va s’ennuyer encore plus de lui. En annonçant sa future candidature pour le Parti conservateur du Canada (PCC) tout en restant député à l’Assemblée nationale, son horaire sera encore plus chargé.
En 1996, le gouvernement péquiste de Lucien Bouchard s’est mis en tête de créer les « conditions gagnantes » pour remporter un troisième référendum sur la souveraineté du Québec. Il fallait impérativement s’attaquer à la dette publique pour atteindre le fameux « déficit zéro ». Ce grand ménage s’est traduit par de douloureuses coupes en santé, en éducation et dans l’aide sociale.
Je ne suis pas de ceux qui ont poussé de hauts cris en apprenant que la ministre France-Élaine Duranceau portait des escarpins Louboutin à 1200 $ pour une annonce sur le logement social.
Il ne faut pas trop s’attacher aux budgets. Des annonces, même les plus jolies, peuvent finir leur vie dans un bac de recyclage. Ou, comme on dit en théologie, dans les limbes.
Je vous parlais récemment des nouveaux « superpouvoirs » accordés aux villes par Québec.
Dans un resto de Montréal, l’écœurement et l’émerveillement lunchent ensemble.
Au côté de François Hollande à l’Élysée, Pauline Marois était ravie.
Il pleuvait sur Montréal ce jour-là. Et Justine* n’avait qu’une envie : mourir.
Cette semaine, en plus d’avoir voté contre le projet de loi du député acadien René Arseneault qui voulait rendre le serment au roi optionnel, des élus conservateurs ont chanté God Save the King dans la chambre censée être celle de tous les Canadiens. Un manque de sensibilité envers l’histoire des francophones et encore plus des Autochtones du Canada.
Quand Josée Scalabrini prononce la phrase en interview, la réalité la rattrape.
Depuis quelque temps, la conversation collective sur l’impact des écrans et des réseaux sociaux sur les cerveaux en développement des jeunes s’est animée. Pas juste au Québec. La publication d’un livre aux États-Unis soulève débats et réflexions1.
Le Canada ne veut pas perdre le Nord. Sa nouvelle politique de défense priorise la défense de l’Arctique, et la simple existence d’une priorité est en soi une nouveauté.
Début 2023, je m’étais rendu à Toronto pour constater la flambée de violence dans les transports en commun.
Si la tendance se maintient, on épuisera bientôt les possibilités de la langue française pour qualifier l’intérêt de François Legault pour un référendum sur l’immigration.